1. La Créanciale est un signe d’accueil de l’Eglise vis à vis de futurs pèlerins, effectuant une démarche personnelle profonde, et ouverts à un chemin spirituel. Sa remise n’exige pas d’être chrétien, mais peut être l’occasion d’un dialogue avec un responsable religieux ou un délégué représentant l’Eglise catholique. Elle peut être obtenu auprès des prêtres, diacres, religieux ou leurs délégués. Les directeurs diocésains des pèlerinages peuvent se procurer ces créanciales et les guides des haltes spirituelles au service diocésain des pèlerinages – BP 821 – 12008 RODEZ cedex.
2. Le sac à dos
Un des rites du chemin serait de vider son sac…
Cliquez ici pour accéder aux conseils des Editions LEPERE
3. Choisir :
- Ni trop, le chemin n’est pas un désert (qui veut aller loin ménage sa monture)
- Ni trop peu (prudence est mère de sûreté)
Trop :
c’est vouloir être autonome, se rassurer à bon compte. Le pèlerin ne doit-il pas simplifier sa vie, savoir se passer du superflu dont sa vie est encombrée et même dans certains cas du nécessaire pour s’en remettre à la Providence divine. Votre sécurité minimum (prudence) doit s’équilibrer avec la confiance en Dieu qui vous invite sur le chemin.
A chacun son appel mais tous doivent être éclairés.
Très peu, voir rien :
Certains perçoivent l’appel de l’ascèse et partent avec très peu, pas d’argent et demandent en chemin. Il faut beaucoup de confiance et de la délicatesse pour ne pas devenir un parasite. C’est une voie de sainteté. Attention à l’orgueil ascétique !